Le nouvel achat de Léonel...

Suite Du bureau d'Aésus (Cliquer ici pour y aller)

Ahhhh il fait si calme. La nuit tombe et la journée tourne enfin à sa fin.

Léonel marchait accompagné d’Eridor, sa main toujours déposer sur l’épaule du petit… Il préférait prendre un minimum de précaution. Les deux prenaient directions du manoir de Léonel. Cela ne prendrait guère de temps puisque se manoir était justement à quelques rue du bureau de Aésus mais cela n’empêcherait pas à Léonel de faire la causette tout au long du petit voyage. Peu importe que l’Ondin ne soit pas vraiment dans l’envie d’y répondre, surtout avec la peur que lui avait fait Léonel, mais si Léon voulait parler, alors il parlait! :

-Tu as quel âge petit? Tu es originaire de Slavebourg? Tu sais faire quoi? Tu fais bien à manger? Tu as toujours cette stupide manie de pas regarder les gens?

Les questions sortaient une à la suite de l’autre sans réellement attendre que l’esclave répondre. Il préféra les dire toute en même temps pour économiser la salive. La dernière question était surtout à cause du fait que l’esclave semblait avoir l’habitude, qui agaçait de plus en plus Léonel, qui consistait à éviter de ne pas fixer les gens. Pourtant Léonel adorait regarder dans les yeux les esclaves car il avait une meilleur impression de sentir leurs peur… et sa supériorité!

Eridor suivait son maître dans un silence le plus total se demandant légèrement si son maître savait faire le silence car jusqu'à présent il avait plus l’impression de se retrouver face a une véritable pipelette qu’autre chose…

Il fixait obstinément à l’opposé de son maître ayant tout sauf envi de répondre à ses questions, qu’il avait bien du mal à retenir…

« Eu...je… J’ai quinze ans, je viens de quelques part dans la montagne et je… je sais faire un peu tout et…Je…On m’a toujours dit de ne pas regarder les gens… »

Tentât-il de répondre. Il espérait avoir répondu a toute les questions ne se rendant compte qu’il n’avait pas précisé si il savait cuisiné…

L’ondin en comprenait pas bien pourquoi le maître lui reproché de ne pas le regarder. On lui avait toujours appris a ne jamais regarder les gens avec un statut plus haut que lui et avait appris cette règle a la dure. Eridor ne se sentait pas de regarder son maître en plus sa faisait encore plus peur.

Aussitôt qu’il eut terminé sa phrase, Léonel lui lâcha l’épaule pour lui donner un coup derrière la tête... assez violent d’ailleurs le coup. Et il lança d’un air autoritaire et guère plaisant :

Et bien je me fiche de se que les autres t’ont dit! Moi est-ce que je t’ai dit de ne pas me regarder? Non!

Sur se il libéra définitivement l’Ondin en croisant les bras et soupirant un peu.

Va falloir que je t’apprenne tout!

Pour la question de la nourriture, Léonel considéra que la phrase ‘’ je sais faire un peu tout ‘’ Était utilisée dans le sens de la cuisine aussi donc il n’y porta pas attention. S’intéressant plus sur ton âge. Il lui lança en changeant complètement de ton pour une voix moqueur qui semblait se foutre de l’ondin… :

Quinze ans? Mais tu as oublié de grandir! Tu fais à peine 12 ans. Au dirait le petit bébé à sa maman… Est-ce qu’il va falloir que je te donne le biberon?

Non mais qu’est-ce qu’il est bizarre se maître…

Eridor sentit ses dents claquées quand le maître lui frappa l’arrière du crâne. Il ne s’y était pas vraiment attendu et en plus Leonel n’était pas y aller de main morte. Il cligna plusieurs fois des paupières.

Ses yeux turquoise se mirent à bouger dans tout les sens ne sachant pas du tout où les poser.
Ca allait être dur car si ce qu’il n’avait pas le droit de faire il devait justement le faire hé bien ç allait être compliqué.
Il allait devoir tout apprendre sur le tas, il en avait déjà mal al a tête.

Quand le maître se moqua de lui il se sentit rougir de honte alors qu’il avait tendance à détourner la tête.
On lui faisait encore une remarque sur son age ! C’est bon il avait compris qu’il ne le faisait pas du tout, qu’il faisait gamin et qu’on ne lui donnerait jamais son age, qu’il était haut comme trois pommes ! Mais il n’y était pour rien ! Déjà il était petit de départ ne sachant même pas pourquoi et en plus les traitements qu’il a subit ne l’arrangeait pas, il n’avait pas put grandir normalement.

Ne sachant pas quoi faire il marmonnât peu sur de lui…

« Non…maître Leonel… »

Le maître observa, avec ses yeux rouges, la réaction de l’Ondin qui semblait légèrement… perdu. Lorsqu’il répondit, Léonel éclata de rire sans retenu! Autant pour la réaction du petit que par sa réponse. La réponse, tout simplement car il avait l’impression qu’Eridor répondait au deux questions.

-Parfait car je hais donner le biberon!

L’Ondin sans doute avait-il de la chance… car Léonel était d’heureuse humeur aujourd’hui et comme son nouvel esclave se comportait correctement. Et si cela aurait été plus tôt où plus tard et qu’à ce moment là, l’humeur n’aurait pas été d’augure… Oulala que sa ferait mal… Même le joueur de Léonel plaindrait le pauvre.

Sur se, il continua le chemin qui n’était guère long… une minute au maximum avant d’Arriver devant un imposant manoir de pierre. Ils rentrèrent dans la cour et Léonel reprit :

Voilà ta nouvelle demeure! Tu seras le premier esclave à y entrer… et à partir s’y ton comportement en fait ainsi… Et j’aurais plusieurs façons pour le faire! Tu pourras le voir toi-même.

Tous cela avec un petit sourire. La simple penser lui donnait un plaisir fou. Bref, l’idée de faire peur le rendait toujours joyeux et il ne s’en lassait jamais… au détriment des esclaves.

Eridor suivit muet comme une tombe son maître. Quand ce dernier avait rit si Eridor avait eu des oreilles de chat elles auraient étaient très très très basses. Stressant à chaque pas car dés qu’il aurait passé la porte du manoir il avait l’impression que son destin était scellé et qu’il n’en ressortirait plus jamais.

Dés qu’il arriva devant le manoir il leva les yeux et se sentit soudain très petit. Sans vraiment le vouloir il eu un léger mouvement de recul quasi imperceptible. C’est que il ne voulait vraiment pas y rentrer mais il n’avait pas comme qui dirait, le choix.

« Oui Maître Leonel. »

Fut-la seule chose qu’il pouvait sortir ne sachant même pas si il devait répondre. Il détestait ça, il détestait ne pas savoir ce qu’il avait droit de faire et ce qu’il n’avait pas le droit de faire, ce qu’il devait faire… Et là il ne savait toujours pas ce qu’il devait regarder…

L’ondin ne voulais absolument pas connaître les traitements du maître car il était sur que c’était assez douloureux. Il priât intérieurement un dieu qui lui était inconnu (hj : Ho toi lolo le tout puissant !!!!) de l’empêcher de faire ses gaffes habituelles, gamelle, maladresse, cassage de verre…

-Parfait…

À le fait de comparer la maison de Léonel à une prison… Il l’aurait sans doute aimé l’entendre. Mais il en aurait profité pour taper l’esclave pour le punir. Bref une bonne raison! Le chemin se poursuivit jusqu’à la demeure ou le maître s’arrêta à quelque pas de la maison tapotant un peu ses souliers au sol pour éviter de faire des tâches à l’intérieur, du moins enlever un minimum. Il n’en dit rien à l’esclave sur se fait… Et le petit verrait pourquoi plus tard s’il ne le ferait pas. En même temps que de faire se geste, il jeta à l’Ondin.

-Allez, tu attends quoi pour ouvrir la porte? Tu penses que je vais le faire?

Un regard plutôt amuser suivit ses paroles. Bref, que l’Ondin aurait eut où non l’idée de lui ouvrir la porte, Léonel préférait lui dire d’avance. Sa permettrait par la même occasion de lui montrer comment il devrait se comporter avec son nouveau maître... Hum et expèrons pour lui que son dieu l'aide vraiment! Sinon...

Eridor sursautât en entendant le maître lui parlait. En effet il était trop occupé a observer ses pieds a prés avoir vu Leonel taper des pieds… Ca l’énervait de ne pas savoir quoi faire, en plus, lui, n’avait pas de chaussures, ses pieds étaient nus et dans un sal état il ne pouvait pas le nier, autant dans les blessures que dans la saleté quoique qu’ils étaient assez propre vu qu’il marchait dans la moindre flaque d’eau qui traînaient…

« No…Non maître ! »

Il se précipita vers la porte et l’ouvrit en grand pour laisser le maître entrer lui laissant toute la place.
L’ondin commença a prendre des notes pour lui-même…

note1 : ne pas fixé le sol mais quoi d’autre?
note2 : ne pas oublier d’ouvrir les portes.
note3 : ne pas tomber.
note4 : ne pas casser la vaisselle.
note5 : ne pas oublié les quatre notes du haut.

Eridor était inquiet ne sachant pas quoi faire regardât légèrement son maître voulant qu’il lui explique un maximum…

(Désoler, c’est pas top top ^^’’ Mais je me suis prit à la dernière minute car la j'ai trop discuter lol XD! (Évidemment >.< ! ))

Il laissa l’Ondin réagir, finissant de se taper les pieds pour retirer ses dernières taches du mieux que possible. Au moins il évita de rester dans le paysage en lui ouvrant la porte en grandeur. Il s’introduit dans la maison en prenant bien soin de préciser :

-Si tu casses un truc, tu vas avoir affaire à moi… Oh et n’oublie pas de bien fermer la porte. Je hais les courants d’air... Ah et aussi ramasser mon manteau. Tu n’auras qu’à me rejoindre au salon au deuxième étages… Tu ne pourras pas le manquer.

Sur se, d’un mouvement un peu snob, il retira son manteau et le laissa banalement tomber au sol avant de se diriger simplement vers l’escalier. L’ondin pourrait l’accrocher à l’accrocheuse (C’est bien le nom ?) à côté de la porte

==> Suite bien euh dans la maison au 2ème étages ^^

Eridor notât tout rapidement dans son crâne. Bon pas casser il s’en doutait et il fallait qu’il pense a fermer les portes, bon donc, ouvrir, fermer, ouvrir, fermer, ouvrir, fermer..

Bien entendu il répondit son éternel petit :

« Oui maître Leonel. »

En le laissant partir.

Il attrapa le manteau laissé tombé a terre, une fois l’étoffé dans ses mains, il s’étira au maximum pour bien l’installer ne voulant pas qu’il tombe.
Puis, l’ondin se tourna vers la porte qu’il avait laissé ouverte. Il posa une petite main sur la poigné et jetât un coup d’œil dehors pas vraiment ravi de devoir fermer cette porte.
Cette porte il allait sûrement très peu la repasser à part pour l’ouvrir et la fermer a son maître.

Bon allait respire inspire et ferme la porte maintenant Riri.

Son maître allait attendre alors Eridor fermi la porte, scellant complètement son destin. Il espérait de tout son cœur que quelqu’un le sortirait de là car il avait vraiment peur de ne pas tenir la semaine avec ce maître, certes Leonel ne lui avait rien montrait mais l’ondin avait le nez pour sentir ce genre de chose.

L’ondin tourna les talons et partit dans la même direction du maître.

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