Léonel semblait charmé… charmé d’avoir convaincu la femme de l’accompagner. QU’est-ce qu’il avait comme talent! Pour lui, il était un séducteur parfait que nul ne pourrait battre… Même si c’était loin d’être le cas mais sa, fallait surtout pas lui dire.
Évidemment que j’en suis fier! Cela m’a prit des mois avant de trouver une si belle demeure…
En faîte, il n’avait rien fait pour l’avoir puisque c’était son père qui lui avait payer et avait fait les recherches et le travaille mais bon…
Mais je suis heureux de voir qu’elle vous plait…
Il cessa de regarder devant lui pour jeter un coup d’œil à la femme. Heureusement qu’il fessait nuit sinon les doutes de Léonel n’aurait fait qu’augmenter…
Ils franchirent le terrain et rentrèrent dans la cour. On pouvait voit qu’il y avait un grand jardin avant d’atteindre la demeure… Et que de l’autre côté de la demeure, il avait une immense cour pour l’écurie légèrement visible de chaque côté du manoir. Il continua son avancer jusqu’à sa porte d’entré où il s’interrompu et lui demanda, un peu sur le ton d’humour mais poliment :
Hum… avant, assurez-vous de bien essuyer vos pied!
D’ailleurs, cela ne s’adressa pas qu’à Lenore puisqu’il le fit lui-même en tappant une ou deux fois ses pieds contre le mur de pierre.