Le salon

Léonel rentra dans le salon abandonnant l’ondin deux mètres plus loin à l’entré. Il alla illico s’asseoir dans un fauteuil luxueux qui était même trop exagéré côté décoration mais bon…

Alors que le reste de la pièce était d’un état luxueux, une petite partit était néanmoins laisser abandonné, à peine décoré d’une simple chaise de bois (Encore là, sa solidité restait à tester.). Bref, l’endroit parfait pour un esclave! SInon, il avait presque le foyer, complètement à l'opposé d'où pourrait s'assoeir l'esclave (Mais juste à côté du fauteuil du maître!

Sur se, il soupira un peu comme si il était épuisé de sa dure journée. (Bah ouais, à croire que c’est dur taper un esclave!)

Eridor poussa craintivement la porte menant au salon ayant « légèrement » peur de se prendre un cou l’ouverture passée, en plus il en savait même ce qu’il devait faire.

Il se glissa dans la pièce n’osant même pas ouvrir la porte en grand. Il la referma n’oubliant pas que le maître n’aimait pas les courants d’air.

Peu sur, l’ondin fit quelques pas et se stoppa sûrement que son maître l’avait entendu arriver mai il ne savait pas si il devait dire quelque chose ou pas. Le jeune resta tendu, les mains devant lui ses doits s’emmêlant les un dans les autres dans un mouvement nerveux. Après avoir jetait un coup d’œil al apiéce il baissa a nouveau les yeux ayant oublié que c’était chose à ne pas faire.

Pourquoi les maîtres avaient toujours des pièce si chargeait. Lui n’aimait pas trop ça il préférait quand c’était plus simple. Mais bon il ‘n’allait pas allé voir son maître et faire « Hey Maître ! J’aime pas la deco faut l’changer ! » non sûrement pas. L’esclave remarqua aussi la petite chaise sûrement la « sienne ».

Léonel regarda l’ondin entrer… Il laissa son regard plutôt neutre à le regarder agir. Lâchant un mince soupir, il se releva et marcha lentement vers l’Ondin. Il se plaça devant lui et changea complètement de comportement en fessant cette fois-ci un mouvement brusque pour lui saisir les cheveux et encore une fois les tirer… bien plus que la première fois pourtant le regard toujours neutre (Il est bizarre je sais…). Il le serra fort dans sa main suffisamment pour étirer la pauvre peau de l’Ondin… :

Qu’est-ce que je t’ai dit plus tôt! Tu ne regardes pas le sol d’accord? Je hais quand on baisse le regard. J’ai l’impression qu’on m’évite! Et tu devrais être mon ami donc tu ne devrais pas avoir peur de me regarder. C’est clair ?!

Tout au long, il avait prit une voix calme… sauf à la fin où il amplifia un peu la voix sur un ton plus menaçant. D’ailleurs, il ne relâcha même pas les cheveux le vilain! Il reprit même d’une voix inquiète, même si pourtant il lui fessait mal :

Hum et… tu sembles un peu angoisser? Tu as peur? Si tu veux j’aurais un bon truc pour rassurer!

Il s’interrompit un bref instant le temps de faire un petit sourire :

Faire la cuisine! C’est drôle mais je commence à avoir faim…

Il resta comme sa en tenant toujours l’ondin…

Eridor appréhenda la suite de l’arriver lente de son maître. Généralement ce n’est jamais bon signe. Et il avait bien raison !
L’ondin poussa un petit cri quand on lui saisit ENCORE les cheveux. Cette fois si c’était beaucoup plus fort que les autres fois, là ce n’était pas juste les racines des cheveux qu’il avait l’impression qu’on lui arrachait mais bien le crâne. Il se mordit la lèvre inférieur et ferma ses points sur le bas de sa chemise pour ne pas les poser sur le bras du maître comme son instinct le lui hurlait dessus pour avoir moins mal…

Regarder son maître ! Il l’avait oublié ! Et Leonel le lui rappelait bien gentiment.
Eridor inspira et leva doucement ses deux turquoises brumeux vers le visage de son maître. Il n’osa pourtant pas poser son regard dans celui de maître. Il avait déjà peur qu’en l’entendant, le regarder dans les yeux c’était un peu trop lui demander.

Eridor commençait vraiment à avoir un peu beaucoup mal au crâne. Si le maître traité tous ses amis comme ça il ne devait en avoir beaucoup…c’était clair ses esclaves ne devait pas faire long feu…et il était précisément un de ses « amis ». Naaaaan il voulait pas mourir…

Si il et un peu angoisser ? Si il a peur ? Bien sur mais il n’allait sûrement pas le dire au maître qui d’ailleurs était assez grand pour le voir tout seul.

Au petit sourire de son maître il ne put que se dire qu’il allait lui sortir un style de torture qui lui était encore méconnu mais non il lui sortit…La cuisine ?!

Il en savait pas pourquoi mais il avait l’impression que son maître était un fin gourmet. Il espérait qu’il ne lui demande jamais de faire du poisson car quitte à se faire frapper il ne cuisinera jamais un poisson ! En parlant de poisson… C’était pas lui au moins qu’il voulait cuisiner ?! Le petit était complètement traumatisé par ça a présent et il sentit ses yeux s’élargirent un peu plus a cette pensée… Surtout pas ça !!!

« Comme…Comme vous voudrez Maître Leonel. »

Fut la seule chose qu’il murmurât avec quelques difficulté ses yeux brillant a cause de la douleur que le maître ne voulait pas arrêter. Après avoir parlé ses dents se refermèrent immédiatement sur sa lèvre inférieure.

Mais qu’est-ce qui lui prenait? Léonel, lui, se posait la question. Est-ce qu’il lui avait donner l’ordre de faire la cuisine?... Et bien non! La réaction de l’ondin lui avait peut-être fait renforcer son sourire, qui prit une apparence plus sadique, mais sa réponse avait été mal formulée (Bien que sa revenait au même).

Même si l’ondin ferait mieux de répondre oui, il avait malheureusement construit sa phrase en donnant l’impression qu’on lui donnait un ordre. Et dès lors, l’humain se contenta gentiment de serrer plus fermement sa main et le levant légèrement son bras pour amplifier la douleur. Immédiatement, avec une charmante voix sec, il entreprit de dire :

Que te prend t’il de me répondre ainsi ? Je ne t’ai pas lancé un ordre, je t’ai gentiment demandé si tu voudrais me faire à cuisiner. Donc répond plutôt : Oui c’est une bonne idée maître Léonel…

Et puis c’Était son ami! Depuis quand on répond ainsi à un ami, qui lui propose gentiment de faire la cuisine (Bon, sa reste à déterminer), comme si on lui lançait un ordre? L’ondin était mal parti… Enfin, peut-être moins si il évitait je genre de chose avec Léonel qui malheureusement pourrait bien changer sa façon de penser si son humeur changeait.

Eridor poussa un petit cri quand son maître accentua la douleur sur son cuir chevelu, douleur qui s’aventurait maintenant dans sa cervelle.
Ses yeux se fermèrent quelques instant alors qu’il mordait sa pauvre lèvre inférieur, mais faut pas s’inquiété elle a l’habitude la petite elle s’en remettra vite !
L’ondin ne comprenait pas pourquoi l’humain le faisait un peu plus souffrir mais celui-ci le lui appris bien vite.

Eridor ouvrit doucement ses yeux brillant de larmes les posant a nouveaux sur le visage du maître. Si ça continuait il allait craqué face a son maître, il n’arrive pas à comprendre ce que lui demandé l’humain, il ne savait pas comment le prendre. Impossible de cerner Leonel, il ne saisissait pas ce qu’il voulait de lui, il commençait sérieusement a paniquer.

Il ouvrit la bouche comme pour tenter de répondre quelque chose mais il la referma bien vite. Il ne savait même pas ce qu’il devait dire. Devait-il répéter ?
L’ondin sourit a nouveau la bouche et tentât avec une petite voix assez cassé.

« D’acc..d’accord maître Leonel…Com… C’est une bonne idée ? Maître Leonel.. »

Sur d’avoir dit une bêtise les yeux de l’ondin se mire a bougé sans vouloir se fixer sur le visage du maître.

L’ondin finit par dire les paroles qui touchaient! Et Léonel le relâcha aussitôt enlevant toute la pression dessus les pauvres cheveux. Il lui massa quelques secondes la tête d’une petite geste amicale en disant joyeusement :

-Tu vois? Ce n’est pas si difficile à dire. Oh dirais que cela à été tellement dure que tu en frôles les larmes!

Il déplaça sa main vers le dos de l’ondin et le poussa vers la misérable chaise abandonnée. Le pauvre petit semblait paniqué autant plus qu’il semblait être très agité au dernier moment alors valait mieux le faire asseoir pour pas qu’il tombe.

Aller assit toi! Tu sembles épuisé…

Il l’abandonna près de la chaise. Libre à lui de s’assoire ou non. Retournant à son fauteuil il lui proposa plutôt :

J’aurais le goût de saumon et de porc… Tu préfères quoi?

Pas de nouvelle pression sur ses cheveux ? Où ! Tant mieux et même mieux.
Le jeune ondin sentit avec soulagement ses cheveux êtres relâché de l’emprise du maître. Par contre il resta tout de même assez incrédule quand celui ci lui offrit un petit message du cuir chevelu, ce n’était pas grand-chose mais ça surprit beaucoup l’ondin qui bien sur ne put l’appréciait a sa juste valeur.

Houlà ! Son maître lui paressait de plus en plus étrange. Il lui paraissait a ce moment là, attentionné ? Non ça devait être son imagination sinon c’était le maître qui était complètement barge. Oui c’était ça…

Eridor n’était pas rassuré mais il s’assit tout de même sur la chaise. Heureusement qu’il était un poids plume et que ce n’était sûrement pas sous son poids qu’elle risquait de se briser. Mais il ne lui donnait pas longtemps a vivre non plus si quelqu’un avec un peu plus de masse que lui si asseyait.

Il allait avoir le réflexe de regarder ailleurs mais se souvenant au dernier moment de l’ordre de son maître, il posa son regard sur le fauteuil du maître.

Porc ou saumon ?
La question ne se posait pas.

« Le porc maître Leonel. »

Ben oui ! Il n’allait pas dire le saumon. Il n’était pas cannibale le petit.
Mais la question le mit encore plus mal à l’aise car l’ondin avait encore l’impression que l’humain faisait allusion à le manger.

Il voulut encore une fois baisser les yeux mais il ne fit que de continuer de se mordre la lèvre, espérant que le maître allait lui demander de faire du porc, en plus ça il savait bien le cuisiner, et pas le poisson car là il recevrait sûrement ça premier véritable correction étant donné qu’il ne cuisinerait pas le poisson.

Et bien c’est qu’il semblait plus confiant quand il répondit se qu’il en pensait cet Ondin! Léonel fit un petit signe de tête assez rapide et répondit :

Parfait! Tu n’as pas à avoir aussi peur de parler!

IL croisa les jambes et jeta un mince coup d’œil au foyer. Il était éteint et sans aucun intérêt mais bon, cela le fit malgré tout sourire à cause d’une petite pensée que l’Ondin ferait mieux de ne jamais découvrir… Bien que sa s’approchait de la peur du pauvre petit. Il continua de fixer le feu avec son mince sourire :

Alors allons y pour le porc… Dois-je te conduire à la cuisine?

(Désoler, pas très développé mais je suis serré sur le temps lol XD…)

Eridor se retint de soupirer de soulagement à la fois que son maître lui demande de cuisiner du porc et qu’il arrête de le regarder. L’ondin restât silencieux comme une tombe alors que le maître pensait a il ne savait trop quoi en regardant où il aurait dû y avoir du feu…

L’ondin réfléchit rapidement, il n’avait pas envi de rester plus longtemps avec le maître et aurait aimait pouvoir respirer sans risquer de se faire frapper.
Bon revenons a la question principale.

Doué comme il était il métrait sûrement trois heures avant de trouver la cuisine en faisant quelques bourde au passage.
Mais comme je l’ais dit au par avant il ne voulait pas rester avec le maître mais…

« Eu…Je…Oui si ça ne vous dérange pas maître Leonel. »

Fit-il d’une petite voix en se levant doucement de la chaise au cas où un geste trop brusque lui fasse rendre l’âme.

À fallait tout faire! Et avoir parler de nourriture fit que donner plus faim à Léonel. Bon, alors Léonel le conduirait à la cuisine puisqu’il le fallait! Que serait l’Ondin sans lui… Sans doute serait-il tristement abandonné dans la nature et qu’il voudrait à tout prit un maître comme Léonel pour l’héberger et être si gentil avec…

Bon, on divague pas mal là! Mais Léonel pourrait parier, malgré le fait que cela aurait été plus qu’évident pour un enfin de 4 ans, que l’Ondin l’adorait. Pendant qu’il regarda l’Ondin se lever, il se leva soupirant un point et disant avec une pointe d’humour à la fin :

D’accord petit! Sa ne fait aucun problème. Je sais que tu dois être un peu retardé avec ta petite tête, et sans parler de ta stupide race, alors faut pas t’en demander trop!

Il laissa échapper un petit ricanement à la fin de sa phrase. Il ne lâcherait pas Eridor visiblement. Heureusement que le petit avait pas casser la chaise sinon sa l’aurait bouger… dans le mauvais sens. Bon, Léonel, lui, était prêt à partir vers le long trajet vers la cuisine!

L’ondin rougit immédiatement sous l’insulte même si il en avait l’habitude.

On le traitait souvent d’attardé mental au point qu’il le croyait vraiment. Après tout c’était peut-être vrai, il était beaucoup plus petit que la normal, il ressemblait à un gamin de douze ans alors qu’il en avait quinze et des poussières. Et il n’était pas bien gros enfin, maigre serait un mot plus juste.
Mais sa race n’était pas stupide, lui peut-être mais pas sa race. Bon il n’avait jamais vraiment connu d’autre ondin mais il en savait assez long déjà pour savoir que sa race n’était sûrement pas stupide. La preuve ils restaient dans leurs lacs et ne se balader pas sur terre comme lui le faisait et puis ils étaient sûrement gentils, les ondins eux…

Il avait détourné le regard mais se rappelant qu’il ne le devait pas, il le regarda a nouveau…Enfin sa joue.

« Mer…Merci maître Leonel. »

Il avait faillit oublier trop honteux par les phrases de Leonel mais bon.
Deux secondes s’écoulèrent où l’ondin se questionnait. Pourquoi son maître ne faisait rien ?
Tilt !
Le petit eu un mini sursaut avant de se dirigeait vers la porte. Sa devait être ça… Il devait ouvrir la porte et c’est ce qu’il fit.
il ouvrit la porte en grand et se poussa complètement du passage comme il l’avait fait a l’entré.

(Désoler panne d'inspiration... Dah!!!! Pos juste... Je ferais le topic qui suite demain dsl... Où sinon tu peux le faire si tu en as l'inspiration...)

Il apprenait si vite! On voyait bien que Léonel y était beaucoup dans tous sa. Sans sa grandeur et son intelligence si… si… enfin!... Il le regarda agir et lui fit un petit sourire avant de prendre la direction du couloir et ensuite, de la cuisine:

Qu’est-ce que tu apprends vite! C’est fou se que j’ai du talent…

La fin était plus à lui-même mais bon… Sur se, il prit direction du couloir en fessant en passant à côté de l’Ondin un petit mouvement brusque du bras vers Eridor comme pour faire semblant qu’il allait l’attaquer. Petite blague qu’il trouvait plaisante…

==>Suite cuisine au premier!!!

Pas taper ! Pas taper ! Pas tapeeeeeer !

A peine l’ondin avait entre aperçut le mouvement du maître qu’il avait déjà fait un mouvement de recul. Son but étant de se cacher derrière la porte, comme on eut s’en rendre compte avait toujours tendance a se protéger avec des choses très « protectrices ».

Le petit Eridor posa une main sur son petit cœur qui avait faillit s’arrêter croyant qu’il allait être frappé. Il n’allait pas mourir sous les coups du maître mais plus sous ses plaisanteries si ça continué comme ça…

Le gamin fermait la porte en silence se souvenant que le maître n’aimait pas les courants d’air.
Une fois cela fait il suivit l’humain vers le coin où il allait sûrement passer du temps. Heureusement qu’il avait été beaucoup mit au travaille a la cuisine avant…

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