Nom: Casier
Prénom: Jenifael
âge: 23 ans
Race: Humaine
Statut: villageoise
Qualité : Chez Jenifael, ce qu'on remarque le plus c'est son assurance qu'elle a depuis le jour ou elle a prit les rênes de la ferme. Elle n'est pas du genre à ce laisser marcher sur les pieds comme le font si bien les autres villageois. Elle, au moins, elle s'affirme autant envers les hauts placé que les très pauvre. Elle n'est ni du côté bien, ni du côté du mal et cela fait d'elle une villageoise unique en son genre.
Défaut : Par contre, Jenifael à une grande haine envers les maîtres et esclaves c'est d'ailleurs ce qui fait son plus grand défaut, car la colère que la perte de son père a fait naître en elle ce qui à fait démontrer une très grande agressivité lorsqu'elle se trouve en leurs compagnies. Depuis l'incident, Jenifael a décidé de se tenir à l'écart des autres et de ne jamais rouvrir son coeur au premier venu pour pas ressentir de nouveau la grande tristesse qu’elle a connu.
Apparence: Jenifael est une jeune femme de petite taille et au trait fin. Elle possède des yeux verts perçant. Ses longs cheveux sont d’un brun légèrement ondulé qui tombe sur ses épaules et se termine au niveau des fesses. Elle a un style vestimentaire commun, des robes amples qui lui arrive, au plus clair du temps, aux cheville.
Histoire: Jenifael a toujours habité à Slave Rébellion puisqu’elle est née de parents agriculteurs. Depuis qu’elle est née, ils lui ont toujours appris le respect et la générosité envers les autres. Très pratiquant et toujours près à aider son prochain, son père a un jour, lors de ses 13 ans, caché un esclave dans sa demeure. Jenifael était très ravie qu’il l’aide à s’échapper, mais elle ne pouvait pas le dire à ses copains de classe, de peur que les maîtres les punisses. Après trois jour jours caché chez eux, un maître vint chez eux pour récupérer son esclave en fuite et battu son père à mort.
Après ce jour fatal, Jenifael ne fut plus la fillette que sa mère avait tant aimée. Colérique, et ne supportant plus la compagnie des autres enfants qu’elle délaissait peu à peu, Jenifael créait peu à peu un mur infranchissable rempli de peine. Elle abandonna l’école, car elle n’avait plus le goût d’y aller, ou elle trouvait trop difficile d’y mettre les pieds. Folle de rage, sa mère voulu l’obliger à y retourner, mais elle se retrouva devant une personne qui lui faisait peur. Elle passait la plupart de ses journées au cimetière, devant la tombe de son père à pleurer et de lui parler de ses journées. Lorsqu’elle n’allait pas au cimetière, elle allait contempler l’eau du lac d’améthyste.
Quelque fois, Lorsqu’elle se rend au marché pour aller vendre ce qu’elle a produit de trop et voit un esclave ou un maître, elle rêve secrètement de les faire souffrir le plus longtemps possible, mais elle possède toutefois une plus grande rancune envers les esclaves et ne se gène pas pour leurs faire savoir lorsqu’elle les croise au marché en leur lançant des tomates ou tout autre légume mûr pour inciter les autres en n’en faire autant.
À 20 ans, sa mère mourut d’un grave accident et Jenifael dut prendre en charge la ferme familiale qui commençait à être en ruine. À plusieurs reprises, on voulu la lui acheter, ou la demander en mariage pour la sortir du pétrin, mais jamais elle n’accepta. Les autres villageois la traitaient de folle de vouloir continuer toute seule.
Aujourd’hui, Jenifael a réussit à remettre la ferme en bon état et suit sa vie comme elle veut sans se préoccuper des autres. Depuis plus de 10 ans, elle recherche toujours le renégat qui a vendu son père.